Qu’est-ce que Vidatox?
L’extrait de venin de scorpion Rophalurus junceus, présent à Cuba et communément appelé escozul (abréviation de scorpion bleu), est le principe actif du Vidatox 30 CH homéopathique. breveté et commercialisé par la société d’État cubaine Labiofam S.A. avec l’autorisation des ministères suivants : de la santé, des sciences, de la technologie et de l’environnement et l’agence de réglementation des médicaments et dispositifs médicaux de Cuba.
Vidatox 30 ch
Vidatox 30 CH est un produit homéopathique conçu comme adjuvant dans le traitement de la pathologie et le soulagement de la douleur, il fournit un soutien supplémentaire pour inhiber le processus malin et pour soutenir et améliorer la qualité de vie des patients atteints de cancer.
A base de venin de scorpion bleu.
Application sublinguale de 5 gouttes toutes les 12 heures. Un flacon suffit pour environ 60 jours de traitement.
Pour qui ?
VIDATOX®30CH peut être utilisé en complément de la thérapie oncologique. Les avantages généraux de ce médicament sont une augmentation de la survie des patients, une réduction des sensations de douleur, une augmentation de l’activité, ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie. L’utilisation de VIDATOX®30CH n’a pas d’effet négatif sur la santé humaine. VIDATOX®30CH a des propriétés nettoyantes uniques pour l’organisme humain. Après l’utilisation du traitement, les patients constatent une amélioration des processus métaboliques, une amélioration des paramètres des analyses sanguines, une augmentation de l’énergie vitale et un rajeunissement de l’organisme. Tout cela est le résultat d’une détoxification substantielle de l’organisme.
Vidatox brun 30 CH est un produit homéopathique qui a attiré beaucoup d’attention ces dernières années en raison de ses potentiels bienfaits thérapeutiques. Développé par la société de biotechnologie cubaine Labiofam, Vidatox est dérivé du venin du scorpion bleu (Rhopalurus junceus). Alors que la formulation originale de Vidatox est verte, la variante brune, Vidatox 30 CH, gagne en popularité. Cet article explore les avantages de Vidatox 30 CH, en mettant en lumière ses applications potentielles et les preuves scientifiques qui soutiennent ses allégations.
Propriétés analgésiques : Vidatox 30 CH est souvent associé au soulagement de la douleur. Certains partisans affirment qu’il peut aider à soulager la douleur liée à diverses affections, telles que l’arthrite, les migraines et le cancer. Cependant, il est important de noter que les études scientifiques soutenant ces affirmations sont limitées et que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour établir son efficacité en tant qu’agent analgésique.
Effets anti-inflammatoires : On pense que la variante brune de Vidatox possède des propriétés anti-inflammatoires. L’inflammation joue un rôle crucial dans diverses maladies, et sa réduction peut potentiellement bénéficier aux personnes atteintes de maladies telles que la polyarthrite rhumatoïde et les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. Bien que certaines études précliniques aient montré des effets anti-inflammatoires prometteurs des composants du venin de scorpion, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour valider ces résultats dans le contexte de Vidatox 30 CH.
Potentiel immunomodulateur : Il a été suggéré que Vidatox 30 CH aurait des effets immunomodulateurs, ce qui signifie qu’il pourrait influencer la réponse du système immunitaire. Certains partisans affirment qu’il peut améliorer la fonction immunitaire et favoriser le bien-être général. Cependant, les preuves scientifiques à l’appui de ces affirmations sont actuellement limitées et des études supplémentaires sont nécessaires pour les étayer.
SANTÉ. Quand le scorpion pique le cancer
Leandro Gonzáles, 6 ans, est assis au bord du lit de ses parents, ses jambes pendant sur le couvre-lit. Ses yeux bruns suivent l’index du Dr Niudis Cruz, à gauche, à droite, en haut, en bas. Puis le Dr Cruz, une spécialiste du cancer, glisse ses doigts dans les petites mains de l’enfant, qui les serre fortement. “Bien, c’est bien”, dit le docteur en hochant la tête.
Yaima, la mère du garçon, menue et calme, se tient à côté, retenant son souffle pendant que Leandro subit son examen physique bimensuel. Son fils a une tumeur inopérable dans le tronc cérébral et elle a déjà observé ce rituel un nombre incalculable de fois. Cependant, le voir repousser avec force la main du docteur avec ses jambes lui tire toujours des larmes de soulagement. Il y a un peu plus d’un an, il était immobile et presque muet.
Quand l’examen touche à sa fin, Niudis Cruz commente la force musculaire de l’enfant, ses réflexes et l’échelle de Lansky, un indicateur de qualité de vie internationalement reconnu pour les enfants atteints du cancer (le garçon est à 90 – 100 correspondant à une santé parfaite). Elle sort son ordinateur portable et affiche une image de scanner en noir et blanc du cerveau de Leandro. “Il a le plus agressif de tous les cancers de pédiatrie, avec un taux de mortalité qui s’élève à 80 % la première année”, dit-elle.
Elle montre du doigt les images sur l’écran et les mesures de la progression de la tumeur depuis sa détection, il y a dix-huit mois. De septembre 2011 à avril 2012, sa taille a diminué d’environ 15 %. Pendant cette période, Leandro n’a suivi aucun traitement si ce n’est boire trois fois par jour quelques gorgées d’un liquide clair et sans saveur. “Il est impossible qu’une tumeur se résorbe d’elle-même, souligne le médecin. C’est forcément le résultat d’une intervention extérieure.”
Pour Leandro, cette intervention est celle du venin d’un scorpion de taille moyenne appelé Rhopalurus junceus, connu à Cuba sous le nom de escorpión azul, le scorpion bleu. Quatre mois après le diagnostic, en mai 2011, Leandro avait tellement maigri que son poids était celui d’un enfant de 2 ans. Mais, après avoir bu régulièrement ce mélange de venin et d’eau, sa santé est redevenue presque normale. Il peut à présent marcher et parler de son plat préféré (les œufs au plat), de sa couleur préférée (le jaune), et faire du vélo (avec des petites roues) tous les jours. “Je remercie Dieu, dit Yaima, et les médecins qui connaissaient le pouvoir de ce scorpion.”
Depuis plus de vingt ans, les Cubains traitent les patients atteints de cancer avec le venin du scorpion bleu. Les résultats ne sont pas toujours aussi extraordinaires, mais des milliers de patients affirment que leur douleur a été soulagée, leur force musculaire renforcée et leur énergie renouvelée grâce à la prise de ce médicament.
Le traitement est maintenant prêt pour une sortie mondiale. La compagnie pharmaceutique publique cubaine Labiofam a récemment commencé à produire en masse une version homéopathique portant le nom de Vidatox. Une poignée de pays, dont la Chine, ont autorisé sa commercialisation, et un petit marché noir s’est organisé pour diffuser le produit dans le reste du monde. Il est impossible de savoir combien de patients ont consommé cette médiatisation contenue dans de petites bouteilles de verre ces vingt dernières années, mais leur nombre dépasse probablement 55 000 dans le monde.
Guérir une tumeur comme celle de Leandro est sans doute devenu le plus grand casse-tête du monde médical. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le cancer a tué près de 7,6 millions de personnes en 2008, soit 13 % des décès dans le monde cette année-là. Malgré les milliards de dollars investis dans la recherche, les autres traitements (chimiothérapie et radiothérapie) sont terriblement inadéquats. Toujours selon l’OMS, les médecins parviennent à traiter avec succès 7,3 % de cancers de plus qu’en 1950, alors que, d’ici à 2030, deux fois plus de personnes devraient mourir de cette maladie.
“Les gens ne croient qu’aux traitements conventionnels, et c’est difficile pour eux de changer d’avis”, constate le directeur de Labiofam, le Dr José Antonio Fraga. Il est assis derrière son imposant bureau, dans les locaux de la puissante société pharmaceutique publique de La Havane, qui jusqu’à récemment était principalement connue pour fournir 98 % des produits vétérinaires de Cuba. Il choisit ses mots avec précaution. “Nous n’avons pas trouvé de remède et nous ne conseillons pas aux patients de refuser les traitements par chimiothérapie ou par radiations, assure-t-il. Mais la médecine humaine est fondée sur des preuves.” Et une telle preuve ne peut être ignorée.